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La médecine esthétique, ça vous tente ?

Au XXI -ème, est-il possible que la médecine esthétique soit encore un mystère pour certains ? De nos jours, presque toutes les personnalités publiques qu’on connaît sont déjà passées par cette catégorie de la médecine. Et vous ? Faites-vous partie de ceux qui osent franchir le pas ?

Qu’est-ce que la médecine esthétique ?

On va aller au fond des choses. La médecine esthétique est une branche de la médecine qui a pour but d’améliorer l’apparence physique d’un individu. En tant que médecin, on leur demande d’avoir une large connaissance dans la médecine générale, la biologie, la dermatologie, la mésothérapie, l’endocrinologie, la gynécologie et aussi la psychologie. Comme la médecine esthétique vise l’amélioration de l’apparence physique, elle concerne les opérations et les traitements qui retardent les effets du vieillissement corporel (les rides, les taches pigmentaires, les vaisseaux sanguins disgracieux, etc.) Ce que l’on considère également comme un simple traitement esthétique fait partie de la médecine esthétique s’il s’agit d’épilation durable ou de tatouage.

Qu’est-ce qui pousse les gens à se tourner vers la médecine esthétique ?

Il peut arriver que ce sont les gens victimes d’accident ou les personnes âgées ayant l’envie de retrouver une minute de leur jeunesse qui appellent à l’aide à la médecine esthétique. Cependant, la raison la plus courante est l’envie de ressembler aux standards de beauté. Ce sont surtout les jeunes entre 16 et 25 ans qui sont touchés. Dans cette époque où l’on vit, les médias et les réseaux sociaux idéalisent énormément certains traits physiques que tout le monde ne peut pas avoir (les lèvres pulpeuses, les yeux débridés, le corps fin et le ventre plat, mais avec des seins et des fesses bien rebondis). Certains jeunes sont très influençables d’autant plus s’ils ne s’assument pas ou qu’ils passent par des phases difficiles. Et c’est là qu’intervient la compétence psychologique du médecin esthétique. Il doit identifier le danger d’un patient et être sûr que la raison pour laquelle il se lance dans sa démarche soit certaine parce qu’il n’y a pas de retour possible. Certains patients tombent également dans l’addiction, ils ne supportent plus de se voir tels qu’ils sont ou ils en veulent toujours plus, plus rien ne leur suffit. Le rôle du médecin est d’imposer la limite à ces patients pour ne pas les mettre en danger.

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